Je suis lààà, by Cooro

Une ambulance était arrivé, elle venait chercher le petit Cooro, celui-ci se débattait, il ne savait oas où est ce qu’on voulait l’emmener, il n’avait pas spécialement peur, mais il était bien là où il était, il ne voulait pas partir, alors, il frappa les ambulanciers, les mordit très fort, jusqu’au sang, il se débattait rageusement, il aurait voulu sortir de ses cachettes ses scalpels et autre truc qui blessait, mais il pensait bien qu’on lui confisquerait, alors il se débrouillait à main nue, mais un enfant ne peut faire longtemps fasse à plusieurs adultes, ces derniers arrivèrent, avec mal, à l’attacher à un brancard, le petit brun se débattant toujours aussi furieusement, c’était sa troisième personnalité qui était-là, les docteurs qui accompagnaient les ambulanciers, lui firent une piqure de calmant, mais les mouvements ne se faisaient qu’à peine moins violent, ils lui en firent une deuxième, il criait toujours autant, une troisième, il était épuisé mais continuer à combattre, ce ne fut qu’à la quatrième dose qu’il arrive à se calmer, respirant fortement à cause de s’etre autant débattu, les médecins avaient noté qu’il avait fallut quatre injections pour qu’il redevienne docile, le petit Cooro, épuisé, dormit pendant le reste du voyage, une fois arrivé, il était reveillé et calme, il regardait se qui se passait autour de lui, et les médecins chargeaient de s’occuper il le détachèrent pour le laisser se lever du brancard et rester là à regarder la salle où il était, partant de leur coté.
Cooro avait sa deuxième personnalité à ce moment là, et il se sentait seul, il s’assit alors contre un mur, enleva le gant noir à l’une de ses mains, il avait réussit à les guarder, pour sortir un scalpel qu’il avait réussit à cacher, et commencer à se martyriser la main, faisant des entailles plus profondes les unes que les autres, il commenca à chanter.

« Un homme est mort,
Un total poids mort,
Quand on le mit en terre,
Il perdit son auriculaire,
Sa tête roula dans le fossé,
Ses membres furent dispercés,
Et quand on voulut recommencer,
Il n’y avait plus rien à enterrer »

Coo-chan eu alors un petit sourire joyeux en chantant cette chanson, il avait très bien conscience qu’elle parlait de la mort et qu’elle était particulière, mais il l’aimait bien, il en avait d’autre en reserve, quand il en chantait une, les autres le prennait toujours pour un fou, ce qu’il était vu le lieu où il se trouvait.

Professeur Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 11/10/2006

Plié en quatre dans une petite voiture, un taxi plus précisément, Shigo attendait avec impatience d'arrivé et ceci pour plusieurs raison.
Tout d'abord elle commençait sérieusement à avoir mal à la nuque et au dos au vu de sa position, elle savait qu'elle aurait dût attendre un taxi plus grand mais elle était tellement enjoué de se rendre à la rose blanche qu'elle n'avait pas réfléchis. La deuxième raison était qu'elle voyait dans le rétroviseur que le conducteur ne cessait de la regarder, certainement impressionné par sa grande taille, elle avait l'habitude, beaucoup de personne la regardait comme ça, il lui demanda même à un moment si elle avait joué dans une équipe de basket, elle avait répondu à la négative, il avait soupiré que c'était dommage, et le silence était retombé. La troisième et dernière raison, pas la moindre, c'était que depuis qu'elle savait qu'elle avait obtenue sa mutation à la rose blanche elle n'avait qu'une seule hate et c'était d'y être. En maison de redressement et en centre spécialisé elle avait rencontré des cas dangereux, ou complètement malade, elle n'avait pas peur, et puis peur de quoi? De mourir d'un coup de couteau de la part d'un gamin avec des envies de meutre? Elle en rirait presque tellement c'était ridicule, la mort c'était bien la dernière chose au monde qui lui faisait peur, mais elle ne riait jamais alors à la place elle eut un petit sourire. Le conducteur lui demanda donc si ça allait, elle répondit que oui très bien, il insista parce qu'elle avait l'air de vouloir pleurer, elle resta silencieuse. C'était l'effet que procurait son sourire. Ca n'y manquait jamais, dès qu'elle souriait on lui demandait pourquoi elle voulait pleurer. Elle n'y pouvait rien, son visage avait gardé les traces du passé, et puis tant pis, elle vivait avec.
Finalement la voiture s'arrêta, elle était arrivé. Elle prit ses affaires, remercia le conducteur, le paya et il partit. Shigo resta quelques instant à regarder cette batisse devant elle et se sentit heureuse. Elle rentra, et dût se baisser pour passer la porte. A peine avait-elle fait un mètre qu'elle entendait une chanson.

*Sympa j'arrive à peine ici et on m'accueil avec une chanson macabre*

Elle regarda d'où venait la chanson et ses yeux tombèrent sur un petit bonhomme assit contre le mur qui était tout simplement entrain de se scarifier avec un petit sourire joyeux. Elle s'approcha de lui, posa ses bagages, et s'accroupit. Mais même avec ça elle paraissait encore immense, surtout qu'en face d'elle, elle avait un petit bout de chou. Elle le regardait de toute sa hauteur avec un regard déprimé, elle ne l'était pas, mais son regard semblait toujours triste de toute façon, bref ça elle n'y faisait pas vraiment attention, elle se contenta de s'adresser à l'enfant :

"Salut, cool ta chanson, faudra que tu me l'apprennes, j'aime bien ce genre de chanson"

Et c'était vrai, elle était peut-être la première à les chanter avant. Elle ne regardait pas ce qu'il se faisait aux mains, de toute façon elle était bien placé pour savoir que le réprimander la dessus ou l'empêcher de le faire aggraverait sûrement plus la situation qu'autre chose. Combien de fois on avait dût l'enfermer parce qu'elle hurlait à pleins poumons parce qu'on lui avait prit le couteau avec laquelle elle se coupait... Bref pour l'instant elle ne ferait rien, c'était pas la peine de faire pèter les plombs à ce gosse alors qu'il venait certainement d'arriver lui aussi.

» Cooro Hikari